Résonateurs
Merci à tous ceux qui ont investi dans les nouveaux résonateurs. Si vous avez manqué la newsletter du mois dernier, elle est toujours disponible sur le site Web, mais le bref résumé est qu’ils ont désormais une intention plus élevée dans leur programmation :
1. Protection EMF comme d’habitude
2. Soutien à la mise à la terre, comme avant
3. Soutien à notre microbiome grâce à la connexion améliorée au microbiome de Gaïa elle-même (nouveau).
4. Une connexion plus profonde avec Gaïa elle-même et l’énergie de la Déesse, le féminin divin (nouveau).
Si l’une de ces informations vous intéresse, veuillez suivre le lien ci-dessous. Le prix reste le même qu’avant.
Livre – Guérissez votre passé, libérez votre avenir
« L’énergie a commencé à couler dès que j’ai commencé à lire la première section et a continué jusqu’à ce que je m’arrête, comme si le simple fait de lire était un processus de guérison. C’était incroyable !» Fiona F, Angleterre
Si vous souhaitez entrer dans l’année 2025 avec un parcours structuré vers le développement personnel, ne cherchez pas plus loin. Ce livre pourrait vous être destiné et est disponible en version papier ou en téléchargement.
Le thème du mois – L’animal humain
J’apprends tellement des animaux que nous gardons dans notre petit sanctuaire informel. Nous les aidons à vivre et à mourir aussi naturellement que possible.
L’une de nos chèvres était proche de ce point de transition l’année dernière et nous avons demandé à un communicateur animal de vérifier notre propre perception de ce qu’elle ressentait et de ce dont elle avait besoin.
Il a été suggéré que la chèvre alternait entre deux perspectives. Son moi supérieur de chèvre attendait avec impatience le moment où son essence pourrait à nouveau fusionner avec sa conscience plus large, tandis que son instinct animal portait une certaine crainte quant à l’affaiblissement de son corps physique.
La chèvre est passée paisiblement sous la protection de son troupeau, mais la question qui restait en suspens concernait l’interaction entre ces deux parties – le moi animal et la conscience supérieure. Comment cela s’applique-t-il à nous, les humains ?
Dans la mythologie antique, l’idée que les humains ont un moi animal était représentée physiquement par la harpie, la sirène, le centaure, le minotaure, la gorgone, la sirène et le sphinx. Ces mythes parlent des dons et des défis que représente la possession de différents aspects du moi. Tout comme une chèvre peut avoir du mal à s’abandonner pleinement à sa connaissance intérieure de la vie après la mort, nous devons nous aussi faire face au défi de notre dualité.
D’un côté, nous sommes des animaux vivant en mode survie, dans la peur et la pénurie, à la recherche des dangers dans notre environnement et de la meilleure façon de les gérer. En même temps, la conscience supérieure de l’énergie de notre âme qui travaille à travers notre cerveau humain supérieur offre une autre perspective, suggérant qu’en fin de compte, nous ne pouvons pas être blessés, que nous sommes des âmes éternelles ici pour une expérience contextuelle.
Je trouve cela utile lorsque je suis confronté à un défi. Plutôt que de devoir me forger une opinion singulière sur une situation, je me permets de reconnaître que je suis guidé par deux instincts. Mon moi animal peut ressentir une certaine anxiété, une conscience de pénurie ou une peur de la perte, tandis que mon moi supérieur peut être assis avec une perspective plus douce, un sentiment rassurant que tout va bien et le sera toujours.
Les deux sont OK. Lorsque nous essayons d’ignorer ou de réprimer notre moi animal dans notre volonté d’être « spirituel », nous nions l’une de nos forces les plus puissantes et l’un de nos plus grands dons. Nous repoussons cette peur dans l’ombre où elle peut grandir et devenir une force irrésistible de négativité de l’ombre. Nous pouvons contourner certains de nos sentiments les plus profonds dans la tentative de donner un air calme d’autorité, une grâce de gourou face à toutes les circonstances.
Aussi étonnants que nous soyons tous, il est normal d’avoir un peu peur, de s’inquiéter de temps en temps. Nous devons accepter l’animal en nous et ressentir ce que nous ressentons. En même temps, nous pouvons aussi savoir que tout ira bien, que nous sommes des âmes éternelles.
C’est un chemin vers la paix véritable, une acceptation de nos vulnérabilités et de nos fragilités tout en les tenant aux côtés de la partie de nous-mêmes qui vit au-delà de nos instincts de survie de base. S’asseoir confortablement avec les deux nous libère pour tirer le meilleur parti de notre courte vie physique, pour prendre des risques mais dans des limites raisonnables, pour aimer profondément en sachant la douleur qui pourrait suivre la perte, pour vivre pleinement chaque jour en sachant que chaque souffle est un pas de plus vers notre dernier.
Avec amour
Andrew