Où allons-nous ?

Utiliser les harmoniques pour une guérison globale

Je souhaite poursuivre les « harmoniques pour la guérison » avec un nouveau domaine et une nouvelle harmonique pour ce mois-ci : la « conscience de la rareté », qui est peut-être la blessure humaine originelle. Il s’agit de l’idée que quelqu’un d’autre possède plus que moi, ou quelque chose que je désire, ou constitue une menace pour ce que j’ai déjà.

Ce type de pensée pousse de nombreux dirigeants et personnalités influentes de notre monde actuel à causer de graves dommages. Je souhaite vous présenter une harmonique qui dynamise cet état de guérison, que je perçois comme la suffisance, la modération et la compassion.

Pour activer l’harmonique en vous et dans votre environnement, lisez-la simplement à voix haute trois fois, ou écrivez-la et gardez-la près de vous, par exemple sous votre oreiller. Vous pouvez même l’ajouter aux deux précédentes, issues des newsletters précédentes.

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J’espère que notre intention commune contribuera à créer un changement collectif positif.

Le thème du mois : Où allons-nous tous ?

Lors de mon exploration chamanique de ce thème, on m’a présenté les grandes lignes d’une histoire :

« Dieu a donné un pommier à un gardien humain, l’invitant à s’en occuper. Le gardien a estimé que l’arbre fruitier avait besoin d’être arrosé quotidiennement et nourri avec un compost riche. Rapidement, l’arbre a montré des signes de stress : il avait poussé trop vite et ses racines étaient faibles, poussant vers la surface à la recherche d’une nourriture facilement accessible.

Comme l’arbre était en difficulté, le gardien a jugé judicieux de le tailler, de supprimer les maladies, de limiter la croissance irrégulière et les branches qui se croisent. L’arbre est devenu plus uniforme, a donné des fruits plus réguliers et a éloigné les insectes et les champignons.

Le gardien a alors senti l’opportunité de planter d’autres arbres à proximité afin d’augmenter le rendement. Les arbres partageaient leurs connexions racinaires grâce au réseau mycélien, ce qui a permis à tous de se sentir bien. Cependant, bien qu’ils aient bénéficié de la présence d’autres arbres, seuls les plus rapides ou les plus chanceux, situés en bordure, pouvaient trouver suffisamment de lumière pour prospérer.

Pour pallier le manque apparent de lumière naturelle, le gardien a décidé d’utiliser de la lumière artificielle afin de préserver chaque arbre. À l’intérieur, afin que tout l’espace au-dessus soit éclairé. Les arbres étaient conservés en pots et le terreau était remplacé par un gel riche en nutriments. La productivité était maximisée et la dormance saisonnière évitée.

Cette histoire est parfois très littérale, mais elle est fondamentalement une question d’attitude. Je vous invite à en saisir toutes les facettes, mais mon défi pour nous tous est de ressentir ce que serait le monde si nous avions laissé l’arbre tranquille dès le départ.

Pourrions-nous simplement l’observer maintenir le rythme sacré des saisons, le serrer dans nos bras lorsque nous avions besoin de réconfort, nous abriter sous sa canopée lorsqu’il pleuvait, nous nourrir de ses fruits de saison, le laisser semer ses graines naturellement et le partager avec toutes les créatures et formes de vie qui bénéficieraient de sa présence ?

Pour en revenir au thème de cette newsletter, si nous prenons cette histoire comme une métaphore de l’humanité actuelle, comment pourrions-nous évoluer vers une relation plus connectée et équilibrée avec cet arbre ?

J’observe avec curiosité l’évolution de la Terre, non seulement de son climat, mais aussi de son champ électromagnétique. Il semble scientifiquement prouvé que le champ magnétique s’affaiblit, un processus tout à fait naturel qui s’inscrit dans un cycle à long terme. Lorsque le champ magnétique disparaîtra complètement, la Terre tournera dans une nouvelle direction, le soleil se lèvera à l’ouest et se couchera à l’est.

L’impact sur la conscience humaine pourrait être tout aussi important. Nous possédons notre propre champ électromagnétique, profondément nourri par la Terre mère. Perdre cette connexion nous fait perdre l’équilibre, d’où la nécessité d’un soutien, comme mes résonateurs.

Ce changement dans son champ magnétique sera profondément transformateur pour nous et notre technologie, et facilitera une nouvelle relation avec la Terre mère. Le chaman péruvien appelle ce moment futur le « pachacuti », le « grand tournant ».

Il est difficile de savoir quand cela se produira, je ne crois pas que ce soit définitif. Lorsque je me connecte, je vois le siècle prochain plutôt que celui-ci. Nous sommes donc tous des précurseurs, ici pour remettre en question nos modes de vie, si cela nous appelle, afin que, lorsque l’occasion se présentera, le passage à une nouvelle façon d’être soit doux et sacré.

Avec amour

Andrew

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